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Mo
17/10/2005 21:17

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Mo
17/10/2005 20:54
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PASSION
17/10/2005 00:13


Love toi tout contre moi Love me toute la nuit
Un matin équateur Contre-jour et moiteur la chaleur Enroulé dans les draps Je te murmure déjà aime-moi Et quand ton corps dort encore Je viens brûler ta peau Et le désir qui dévore Nous envahit bientôt Oh oh je t'en prie
La chaleur née du vide Monte doucement vers le ciel tu m'appelles Je te suis tu me guides Et tu crées l'étincelle, c'est mortel Quand les caresses donnent envie oui De s'aimer à l'infini Moi je frissonne encore je suis pris Prêt à donner ma vie, à donner ma vie
Quand une larme de plaisir Glisse au bord de tes yeux C'est ta façon à toi de me dire Que c'est le couvre-feu, le couvre-feu C'est
Tu te retournes, tu m'embrasses Tu m'envahis, tu m'effaces L'amour c'est chaud et si tenace L'équateur est un rapace Qui dévore les corps et ça nous dépasse Oui ça nous dépasse
Love toi oh tout contre moi bien oui, bien Love me toute la nuit Love toi oh tout contre moi Viens tout près de moi Love me oh toute la nuit Love toi oh tout contre moi Oh viens tout près de moi Love me
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PASSION
16/10/2005 18:48

De jour en jour, de seconde en seconde L'amour grandit et me rend presque fou Comme un orage qui monte et qui gronde Comme une foudre qui tombe sur nous
Et plus le temps va, plus tu es à moi Et plus je te vois et plus je te veux Plus le jour ...... et plus tu te donnes Et plus je te vois et plus je te veux Et si les nuits sont chaudes Tu aurais la cause Et plus je te vois et plus je te veux
Quand tu t'en vas je ne sais comment vivre Sans ta présence le temps tourne à vide
Et plus le temps va, plus tu es à moi Et plus je te vois et plus je te veux Plus je suis à bout, plus tu me rends fou Et plus je te vois et plus je te veux Quand la nuit revient je te cherche des mains Et plus je te vois et plus je te veux (bis)
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Mo
16/10/2005 18:46

Vois cet oiseau blanc prisonnier du ciel Dans sa grande cage étoilée Moi, de temps en temps je me sens pareil A cet éternel exilé
Lui, qui ne sait pas replier ces ailes Moi, qui ne sais pas m'arrêter
Vois cet oiseau blanc prisonnier du ciel Dans sa grande cage étoilée Moi, de temps en temps je me sens pareil A ce voyageur fatigué
Toi, de tout en bas parfois tu l'appelles Lui, il voudrait bien se poser Mais il ne peut pas replier ses ailes Et toi, tu ne peux pas t'envoler
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