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MO
18/10/2005 14:11


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JE VAIS T'AIMER....
18/10/2005 00:07

A faire pâlir tous les Marquis de Sade, A faire rougir les putains de la rade, A faire crier grâce à tous les échos, A faire trembler les murs de Jéricho, Je vais t'aimer.
A faire flamber des enfers dans tes yeux, A faire jurer tous les tonnerres de Dieu, A faire dresser tes seins et tous les Saints, A faire prier et supplier nos mains, Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer Comme on ne t'a jamais aimée. Je vais t'aimer Plus loin que tes rêves ont imaginé. Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer Comme personne n'a osé t'aimer. Je vais t'aimer Comme j'aurai tellement aimé être aimé. Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
A faire vieillir, à faire blanchir la nuit, A faire brûler la lumière jusqu'au jour, A la passion et jusqu'à la folie, Je vais t'aimer, je vais t'aimer d'amour.
A faire cerner à faire fermer nos yeux, A faire souffrir à faire mourir nos corps, A faire voler nos âmes aux septièmes cieux, A se croire morts et faire l'amour encore, Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer Comme on ne t'a jamais aimée. Je vais t'aimer Plus loin que tes rêves ont imaginé. Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer Comme personne n'a osé t'aimer. Je vais t'aimer Comme j'aurai tellement aimé être aimé. Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
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ET....
18/10/2005 00:05

Et mourir de plaisir. Et mourir de plaisir. Et mourir de plaisir.
Poser les mains sur un visage, Vouloir et ne pas oser Puis s'aventurer davantage Au risque de tout briser, Souffrir à force de s'étreindre Et se confondre dans la nuit, Souffrir sans gémir ou se plaindre Sans un cri.
Et mourir de plaisir. Et mourir de plaisir.
S'étendre à demi-mort de peur, Se réchauffer par des mots, Des mots qui retiennent les heures Et sans trouver le repos, Souffrir à force de s'attendre Et tomber jusqu'à l'agonie, Souffrir encore plus et se rendre Dans un cri.
Et mourir de plaisir. Et mourir de plaisir.
Et dormir. Et dormir.
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JE T'AIME......
18/10/2005 00:02

Je t'aime, je t'aime, Je t'aime, oh oui, je t'aime. Je t'aimerai toute ma vie. Je t'aime, je t'aime, Je t'aime, oh oui, je t'aime. Je t'aimerai toute ma vie.
Pourquoi s'aimer toute une vie ? Pourquoi vouloir s'éterniser ? Les mots s'envolent, On les oublie. Pourquoi vouloir s'emprisonner ?
Je t'aime, je t'aime, Je t'aime, oh oui, je t'aime. Je t'aimerai toute ma vie. Je t'aime, je t'aime, Je t'aime, oh oui, je t'aime. Je t'aimerai toute ma vie.
S'aimer pour la beauté du geste, Rester le temps qu'il fait envie Mais s'il s'enflamme Et qu'il nous blesse, Ne pas souffrir toute sa vie.
Je t'aime, je t'aime, Je t'aime, oh oui, je t'aime. Je t'aimerai toute ma vie. Je t'aime, je t'aime, Je t'aime, oh oui, je t'aime. Je t'aimerai toute ma vie.
Les mots qu'il faut pour nous séduire Ne sont pas toujours des serments, Pour un court instant de délire, Dormir ensemble, infiniment.
Je t'aime, je t'aime, Je t'aime, oh oui, je t'aime. Je t'aimerai toute ma vie. Je t'aime, je t'aime, Je t'aime, oh oui, je t'aime. Je t'aimerai toute ma vie. Je t'aime, oh oui, je t'aime. Je t'aimerai toute ma vie.
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Mo
17/10/2005 23:58

Elle a de ces lumières au fond des yeux Qui rendent aveugles ou amoureux Elle a des gestes de parfum Qui rendent bête ou rendent chien Et si lointaine dans son cœur Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Elle a de ces manières de ne rien dire Qui parlent au bout des souvenirs Cette manière de traverser Quand elle s'en va chez le boucher Quand elle arrive à ma hauteur Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombé en esclavage De ce sourire, de ce visage Et je lui dis emmène moi Et moi je suis prêt à tous les sillages Vers d'autres lieux, d'autres rivages Mais elle passe et ne répond pas Les mots pour elle sont sans valeur Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Elle a de ces longues mains de dentellière A damner l'âme d'un Werner Cette silhouette vénitienne Quand elle se penche à ses persiennes Ce geste je le sais par cœur Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombé en esclavage De ce sourire, de ce visage Et je lui dis emmène moi Et moi je suis prêt à tous les sillages Vers d'autres lieux, d'autres rivages Mais elle passe et ne répond pas L'amour pour elle est sans valeur Pour moi c'est sûr, elle est d'ailleurs
Et moi je suis tombé en esclavage De ce sourire, de ce visage Et je lui dis emmène moi Et moi je suis prêt à tous les sillages Vers d'autres lieux, d'autres rivages Mais elle passe et ne répond pas
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